Marc Perrin
          Développe un travail cherchant à séparer a minima écritures & manières d'être — en relation. Pour ce qu'il en est d'une des ses parts visibles, ce travail à la fois personnel et collectif est aujourd'hui regroupé sous le titre suivant : car les fées Spinoza sont les enfants mâles et femelles, camarades en apprentissage à l'école des amours réelles, virgule — des notes et ébauches de textes sont à lire ici. Ce travail est également mis en jeu dans le cadre d'ateliers d'écriture, principalement avec le projet Tenir Journal. 
          Publications :
			  Vers en chant neuf — Ce qui secret / La rue blanche / Olibrius, 2008
			  Avoir lieu — Dernier Télégramme, 2010
		    Spinoza in China | novembre 2011 | 2015 — Dernier Télégramme, 2015
               A publié dans les revues Aka, Ce qui secret, Chimères, Coaltar, Dixit, Du nerf, Espace(s), Gare Maritime, Hors-Sol, La tête et les cornes, La vie manifeste, LGO, Libr-Critique, Multitudes, Nioques, Ouste, Pli, remue.net, Revue 17, 22MdP...
            
          
          Est en 2009 à l’origine de la revue Ce qui secret dont il coordonne le projet [www.cequisecret.net].
            
          
          Publications 2009-2012 : Maintenant le oui. 
            Publications 2015-2018 : Capitalisme et Schizophrénie.
          
		  www.blogmarcperrin.wordpress.com